FAQ

Voici une liste de questions / réponses qui nous sont souvent posées. Vous trouverez ci-dessous de nombreuses réponses à vos questions. Si toutefois vous n’y trouvez pas votre intérêt, les conseiller(e)s PAI sont à votre écoute et à votre disposition.

Vous souhaitez vous installer ? votre toute première étape est de rencontrer les conseiller(e)s PAI.

Pour cela, vous devez remplir et envoyer le formulaire en cliquant ici

RDI pour Répertoire Départ Installation. Il s’agit d’un outil administré par la Chambre d’agriculture qui a pour objet de mettre en relation des cédants sans successeurs et des porteurs de projet à la recherche d’une exploitation.

> Cliquez ici pour vous rendre sur RDI  

Il existe des aides :

  •  Régionales, nationales et européennes pour les porteurs de projet qui s’installent : DJA (Dotation Jeunes Agriculteurs) pour les moins de 40 ans, Avance de trésorerie remboursable pour les plus de 40 ans…
  • Locales (aides des communautés de communes, Pays, ou Parc naturel…)
  • Délivrées par des organismes comme la MSA qui propose des abattements sur les cotisations les 5 premières années d’installation…
  • Spécifiques à certains types de projet (aides filières, PCAE…)
  •  Spécifiques à certains types de porteurs de projet (demandeurs d’emploi par exemple)

 

Ces aides sont chacune octroyées en fonction de critères précis comme l’âge, le caractère agricole du projet, le statut du porteur de projet…

Par ailleurs, dans l’ensemble des aides attribuées aux agriculteurs, des avantages particuliers sont également fréquemment accordés aux jeunes installés.

 

Vos autres sources de financement :

– Votre autofinancement

– Des prêts bancaires, familiaux…

– Des apporteurs de capitaux

– Un financement solidaire…

– Structures d’accompagnement à la création d’entreprise

L’agriculteur qui vous cède sa ferme ou des parts sociales dans sa société peut également étaler la reprise afin qu’elle pèse moins lourd sur votre investissement. C’est à vous de fixer les conditions avec lui.

  • En effectuant des travaux saisonniers
  • A l’occasion de visites chez des voisins, des amis ou de la famille.
  • Vous pouvez tester un métier agricole grâce à ADEMA, si vous êtes demandeur d’emploi. Cette formation de 22 jours, pendant laquelle vous êtes indemnisé(e) comprend 3 semaines en entreprise.
  • Une période de mise en situation en millieu professionnel (PMSMP), dispositif de Pôle Emploi, vous permet de vérifier vos compétences et capacités professionnelles par rapport à un emploi recherché ou de découvrir les conditions d’exercice d’un métier envisagé.
  • Les mini-stages proposés par les missions locales (pour les 16-25 ans) ont pour objectif de permettre de construire ou vérifier votre projet professionnel.
  • Vous pouvez découvrir le travail d’une exploitation agricole biologique, en rendant des services bénévoles, par le “woofing”. L’association “Savoir-faire et découverte” vous propose des stages et découverte et de test de métiers. 
  • Un bilan de compétences peut également vous donner une idée pour savoir si un métier agricole vous plairait ou non. 

Vous pouvez réaliser une formation diplômante, par voie scolaire (formation initiale) ou par la formation continue pour adultes, destinée aux personnes souhaitant reprendre une formation après une période d’activité professionnelle, comme un BPREA (Brevet Professionnel de Responsable d’Entreprise Agricole) ou un TA (Technicien agricole).

 

Pour obtenir ou enrichir vos compétences, vous pouvez également réaliser des formations courtes, notamment via les Chambres d’agriculture ou les centres de formation départementaux.

 

Vous avez également la possibilité d’acquérir de l’expérience pratique sous différents statuts. Nous pouvons vous accompagner pour définir vos besoins de formation/acquisition d’expérience et vous orienter dans vos démarches.

Le Plan Personnalisé de Professionnalisation identifie les formations qui vous permettent de vous professionnaliser. Complétant un diplôme agricole, il permet de conférer la capacité professionnelle nécessaire dans  différentes démarches.

Vous pouvez demander à un conseiller économique (Chambre d’agriculture, ou cabinet comptable) de réaliser une pré-étude installation.

Vous pouvez également bénéficier d’une prise en charge pour la réalisation d’un diagnostic d’exploitation à reprendre ou pour la réalisation d’une étude de faisabilité ou de marché.

Des formations peuvent vous être proposées pour vérifier la viabilité de votre projet.

  • Le stage de parrainage vous permet de passer entre 3 et 12 mois sur l’exploitation agricole que vous allez créer, reprendre ou sur laquelle vous allez vous associer. Vous percevez une rémunération de stagiaire de la formation professionnelle.
  • Pour augmenter vos chances de réussir votre association, vous pouvez bénéficier d’un accompagnement humain. Un accompagnateur vous aidera à définir vos règles de fonctionnement, le partage du travail, les modes de décisions…
  • Une fois que vous êtes formé et que vous avez défini clairement votre projet, vous pouvez réaliser une période de TEST, en signant un CAPE (Contrat d’appui au projet d’entreprise), avec des espaces test, des couveuses d’entreprise, des pépinières d’activité…
  • Le salariat en agriculture peut être pour vous un tremplin à l’installation : parfaire votre formation, vous insérer dans un territoire, créer des opportunités de reprise ou d’association… Des pistes pour chercher un emploi salarié : les services de remplacement, les groupements d’employeurs, notamment.